• De son vivant Jean FAUVET lieutenant à EL-MAÏN

    De son vivant Jean FAUVET lieutenant à EL-MAÏN

     

    jean.fauvet@wanadoo.fr - note
    Sous-Lieutenant appelé de 1959 à 1960, dans la région d'EL MAIN, j'ai commandé un peloton de 4/4 dragons sur les ordres du Capitaine Schlagdenhauffen. J'ai donc succédé en partie, à l'escadron "JOJO" dont Albert fut un soldat prépondérant de part son admirable courage, sa résistance physique et son abnégation. En nettoyant le secteur d'EL MAIN de la plupart des rebelles, Albert et son Escadron m'ont ainsi permis d'accomplir avec succès et efficacité, la mission première qui nous a été confiée par l'Armée, à savoir le maintien de l'ordre et la pacification des 16 000 Kabyles regroupés à EL MAIN. La "Jeunesse d'Albert" rend compte certainement avec sincérité, fidélité et en détail les combats de l'Escadron de "JOJO". Comme Albert, 50 ans après, j'ai toujours MAL DE L'ALGÉRIE, d'autant plus que l'Indépendance en 62/63, 150 000 Harkis (nos compagnons d'armes) et leurs familles ont été sauvagement massacrés par le FLN en provenance de Tunisie.

    Source : [ Site officiel Liv'Editions ]
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    60gp.ovh.net|Par Zep
    El Main, petite kabylie Le poste militaire d'El-Maïn implanté en 1957 signifie que ce lieu dit est le point de départ des opérations militaires des soldats de l 'armée française à destination des endroits jugés suspécts où se déroulent des accrochages avec les katibas de l'A.L.N ....El-Maïn est aussi l'endroit où habitent les populations de la partie centre et extrême Nord du douar Djaâfracomprenant les villages de Taourmith, Bou Fenzar, Aourir Djaâfra, Takrombalt à ne pas confondre térritorialement avec commune de Djaâfra regroupant en son sein, les douars de Djaâfra, de Colla, Teffreg et d'El-Maïn lors du regroupement des communes au début des années 1960. Selon la version du défunt Maire Dekrouche Brahim Allah i rahmouwe, il y avait à la commune d'El-Maïn 1957-1962 : 8000 habitants contrairement à Monsieur Jean Fauvet qui avance ce chiffre de 16000 habitants dans sa version des faits historiques difficiles à vérifier pour confirmer ou infirmer. Parmi ces populations entassées dans ce camp de regroupement, combien y a-t-il d'élèves scolarisés à l'école publique d'El-Maïn et quelle est l'origine sociale de chacun ? Dans l'effectif des soldats du contingent combien y a-t-il de français, d'appelés et de harkis ? S'agissant des harkas 403 et 404, quel est l'effectif de chacun et quelle est l'origine sociale villageoise de chacun s'entend ?Les champs agricoles étaient divisés en 5 zones distinctes et les autorisations de sorties des fellahs à leurs champs et aux réfugiés djaâfris, mézraraguis, hallaouis, d'aller revoir leurs maisons vidées de leurs habitants par la force des choses évènementielles d'une conjoncture de guerre se faisaient ou se délivraient une fois par semaine seulement par une sorte de laissez passer collectif sur fond d'une politique de rationnement alimentaire des plus sévères voulant éviter par là aux yeux des autorités militaires françaises un possible risque de ravitaillement clandestin des populations en faveur des djounouds installés aux maquis du pourtour du périmètre interdit de cette région hautement délicate au regard de son térrain extrêment difficile. Les djounouds rentrent quand même discrétement aux villages surveillés sans faire trop de bruits pour éviter les revanches militaires des soldats sur ces dites populations civiles.

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